Glory Hole :
asociale, grande gueule impulsive au regard noir, elle n'aime pas les gens et ils le lui rendent bien.
Patsy : tombée pour la France.
Ce blog parle certainement de toi. Ou pas....
Ce blog parle surtout pour ne rien dire...
Un jour, dans une vie, avec une bande de culs autour de vous :
- Non, mon coeur, arrête de m'embrasser, il y a les voisins qui nous matent !
- Quoi ??? Tu as le vagin qui s'humecte ?
Ou qui s'hydrate....!!!!
J'ai échappé au cancer de la peau, j'ai échappé aux mycoses, j'en suis revenue des pistes noires et des baïnes, j'ai même survécu à la loose géographique et aux rillettes-tacos, mais est-ce que je vais tenir trois jours là-bas ?
La question n'est pas de savoir si je vais ressortir vivante de l'eau bouillante de Bretagne, non, ni même si je vais réussir à descendre autant de bières que les autochtones, non, la question est de savoir si je vais pouvoir leur résister, je parle d'eux... Les autres.... Les affreux...
Priez pour moi, pauvres pêcheurs... et.... que la fête soit belle, les godes au frais et les bières lubrifiées !!!
Ma chérie, tu videras le lave-vaisselle avant de partir....
Moi je pars faire les courses. Tu veux que je te prenne quelque chose ?
BIDULE n. m. (p.-ê picard bidoule, boue). 1. Fam. Chose dont on ne sait pas exactement le nom ou qu'on ne tient pas à préciser davantage. -- 2. Pop. Matraque de policier.
Exemple 1 :
- Tiens, passe-moi le bidule s'il-te-plait.
- Le quoi ?!
- Le bidule ! ... Le truc qu'on met sur les bouteilles de free Champ' pour en faire du free Champ'! Enfin! Hé!
- Ah ...
Exemple 2 :
- Oh! Toi ... Tu vas te prendre un coup de bidule sur le coin du nez, ça va être vite vu!
- Chouette, attends, je sors les coupettes ...
Cet été votre sweetblog enfile son paréo, s'enduit les posts de monoi et court vite vite avec ses claquettes qui font clac-clac sur son vélo qui fait clic-clic. Direction la plage! Au programme cette semaine 3 pages spéciales sans Suducul ni mots croisés, vous ne saurez pas non plus Quelle salope êtes-vous cet été, vous en êtes une, ça vous suffit pas? En revanche votre 'Sweetblog Spécial été' vous offre LE feuilleton de l'été. Vous n'avez pas rigolé pendant la Coupe du monde, lisez notre blog! Vous en avez marre de la météo des plages quand vous êtes coincées tout l'été dans votre F2 avec vue sur Marcel le voisin d'en face , lisez notre blog! Vous êtes scandalisées par le peu d'originalité des feux d'artifices cette année encore (on dirait Bagdad en 91)! Lisez notre blog! Car notre blog, c'est chaque jour au petit déj une nouvelle histoire avec des rires (même pas enregistrés) et de la pantalonade assurée!
Cette semaine Glory a ouvert le bal avec son feuilleton de deux lignes Cani-cul-e. Ne criez pas de suite au scandale, et au remboursement de votre free box, attendez la semaine prochaine pour découvrir Broute-moi la Bande de Gaza*, votre nouvelle saga porno/engagée pour soutenir le Liban. Et seulement à ce moment là je tolererai les réclamations. Quant à l'horoscope et le programme Tv, arrêtez de tourner les pages, faut pas non plus nous demander la lune, hein. Prédire ce qui va se passer dans la journée, ça nous arrangerait pourtant touTEs, mais en plus ce qui passe le soir à la Tv, je rêve ...
(*) Que cela ne vous empêche pas d'emmener à la plage La Possibilité d'une île de Michel Houellebecq, d'où est tiré cette -peu diplomate- injonction.
J'aime celle qui ne me voit pas mais qui me regarde, toujours par en-dessous, mine de rien, surtout ne rien montrer ne rien dire, bavarder mais ne rien dévoiler, juste à demi-mots, j'aime celle qui se cache pour pleurer, qui fait semblant de sourire pour déguiser ses larmes, qui garde la tête haute même si son coeur se brise à ses pieds, j'aime celle qui joue, qui se joue de moi, malicieuse, perfide, celle qui me surprend, qui me dépasse, qui m'emmène loin, plus loin que moi, qui m'oblige à aller au-delà de moi-même, au-delà de mes certitudes pour atteindre au plus loin mes absolus, qui m'oblige à me battre, contre moi, contre elle, même contre des moulins à vent, ou des fantômes, celle qui râle, qui gueule plus fort que moi, inquiétante, voire effrayante, celle qui part à droite, à gauche, qui va, qui vient en moi, celle qui se couche sur moi, qui couche avec moi, j'aime celle dont le corps se colle, dont le ventre se cogne, j'aime celle qui vient poser ses seins sur les miens, qui les fait glisser jusqu'à mes reins, qui n'a pas peur de dire 'viens plus fort embrasse-moi encore', j'aime celle qui me lèche l'oreille, qui me murmure des mots d'amour qu'elle ne pense pas, celle dont les mains sont plus douces que le coeur, dont les doigts me disent tous, un par un, qu'ils m'aiment, qu'ils m'aiment bien plus fort qu'elle ne l'admettra jamais, j'aime celle dont la force est si fragile, dont la dureté n'est qu'esbrouffe, bluffer pour ne pas hurler, j'aime celle qui se bat, qui tombe puis qui se relève, sans montrer qu'elle s'est blessée, qui ravale ses larmes et garde la tête haute, sa fierté en bandoulière, son orgeuil en écharpe, j'aime celle qui m'échappe, qui n'est pas à moi, qui me glisse entre les doigts, qui part toujours au petit matin, sans un regard en arrière, sans une pensée en retour, j'aime celle qui ne gagne pas à être connue mais aimée, j'aime celle dont les yeux sont bien plus noirs que les miens, bien plus bleus. Celle qui me trouve belle, qui me fait mouiller tout simplement.
L'envie est une bouteille vide qu'il faut remplir.... et je suis assoiffée...